Pépin : la Thaïlande c’est chouette.ily a plein de soleil mais, des coups, c est pas très chouette parce qu il y a plein de pluie. J aimerais bien qu il y ai moins de monde.Il y a trop de bruit avec toutes ces mobilettes et voitures.Jaivu des éléphants d’Asie, ils mangent des bananes, des pastèques, des plants de maïs et des feuilles.Ils aiment beaucoup les cœurs de bananiers.J’ai aussi vu des Bouddha en or(et un énorme Bouddha couché)mais on pourrait en voir plus parce qu il y a des temples partout! J ai aussi vu des vaches dans des rizières mais je ne sais pas dire comment elles font pour se gratter le dos.Les éléphantseux,ils deracinent un arbre pour se gratter. 
J adore les fruits surtout la pastèque qui est super bonne ici. Alors j ai un ventre à pastèque. Aujourd’hui, nous sommes dans une guesthouse avec deux chambres. Une pour les parents et Archi et l autre pour nous. Ça fait du bien mais je souhaiterais que chacun ait sa chambre comme ça Archimède pourrait pleurer et laisser les parents dormir. Aujourd’hui, j ai pas bcp d idées mais en tout cas j ai envie d aller me ballader et aller chercher du soleil et je sais pas trop quoi d autre.  
Ici, il y a beaucoup de moines, on en trouve plein dans les villes. Ils sont gentils mais quand ils lancent de l eau sur nous, c est vraiment des grosses gouttes. Et les autres personnes, ils ne sont pas très actifs et un peu lents. Ils offrent des bananes mais je préfère les pastèques.  

Gédéon: 
La Thailande, c’est beau... c’est très très beau! Mais ce qui me plait le plus, c’est qu’on peut cueillir des fruits. Surtout des noix de coco en fait! Papa a essayé d’en cueillir une verte en montant à l arbre mais c’ était trop difficile. Son opinel est resté coincé dedans et il s est brûlé les cuisses et les pieds en descendant. Après, Pépin et moi on a trouvé tout seuls comment les cueillir dans un jardin avec un bout de bois mais seulement les brunes pour manger la chair, les vertes elles tiennent trop. C’ est le papy de Chong qui nous les ouvrait avec sa machette. C’ est difficile à faire, il faut d’ abord retirer la bogue avec ses files.
A la mer c’ est vraiment très chouette! Dommage que les parents n’ont pas accepté de prendre la canne à pêche de Pépin et les bouées que papy nous avait offertes.
Nous avons pris le train plusieurs fois et hier nous avons vu un stock de rails énormes:( 15 tas de 400 rails de 12 m de long=36km de nouvelles voies... )En plus, on peut rester à l’arrière dehors, le train roule avec toutes les portes ouvertes, c’est très impressionnant.
Il y a plein d’aigrettes et de cigognes dans les rizières. On a compté, il y avait 17 cigognes. 
Il y a énormément de soleil et de gens. Ils nous touchent beaucoup et parfois Pépin et moi ça nous ennuye. Les thaïlandais sont très fort pour la boxe thaï et le badminton. On a vu un entraînement impressionnant d’art martial dans un parc. 
Ici il y aussi a beaucoup d’éléphants.

25.12.2018 Joyeux Bananier!

Nous sommes à Chiang Mai, dans le nord. Après notre arrivée à Bangkok, et quelques jours pour récupérer du jetlag et s acclimater à la chaleur nous avons pris l avion pour le sud. Direction Khao Lak, au nord de Phuket. 
Destination affreuse pour nous qui nous sentons noyés dans un tsunami de touristes... Et il paraît que cette année il n y a pas trop de monde!
C’est un sacré changement et défi de ne plus voyager au petit bonheur la chance comme nous l’avons fait jusqu’à maintenant, voguant de-ci de-là, et prévoir où et quand aller ainsi que jongler avec les réservations ou non de chambres. Cela demande une sacré organisation et recherche d’information dont nous n’avons pas l’habitude ni l’envie. Contrainte donc pour les parents qui ont perdu ces quelques jours leur zenitude!
Pour résumer, le rythme est un peu difficile à trouver avec la frustration d être systématiquement redirigés vers les sites à touristes. Heureusement nous avons le coaching et encouragement magique de parrain Ben.
Les contacts avec les locaux ne sont pas si évidents ni sincères. Il y a effectivement beaucoup de sourires mais rien au-delà si ce n est beaucoup de réserve ou des propositions d’activités payantes. Difficile d’engager un réel échange et d’emplir nos cœurs de partage comme nous en avions pris la délicieuse habitude précédemment dans les Balkans.
Nous partons donc nous réfugier du tourisme sur un petite île oubliée de la région. Huttes et simplicité. 
Là, nous retrouvons un peu de calme et de contact mais l île est tellement oubliée qu il est impossible de se ravitailler par soi-même. Du coup, même l’eau s achète au resto-bouiboui du coin. Au final pas excessif mais malgré tout 3 fois le prix du magasin. Nous avions imaginé faire du snorkeling, l’île se trouve près d’un des sites les plus en vue pour le masque-tuba, mais la météo n’est pas avec nous et nous essuyons quelques jours d’orage et de mer agitée. Jean Se tentera avec Gédéon une traversée à la nage vers l îlot d’en face qui regorge de coraux et de vie sous-marine (requins gentils compris). Il s’y entaillera le pied sévèrement sur les récifs. Gédéon revient en kayak-stop (ça y est, nous sommes passés maître en la matière) et Jean Se rentre à la nage très rapidement. La perspective de laisser une traînée de sang dans son sillage avec des requins, même gentils, est sa meilleure motivation pour pulvériser son record de crowl. Lendemain, journée de retraversée vers le continent et hôpital. Trop tard pour recoudre, après 4 piqures anesthésiantes, dont Jean Se se souviendra, le médecin coupe les chairs mortes et le bourre d’antibiotiques. Il prescrit en outre un changement de pansement tous les jours en milieu stérile. Nous voici donc partis pour une série de visite dans les hôpitaux et cliniques. Ici, il n’y a pas de médecin indépendant vers qui se tourner.
Nous reprendrons donc l’avion vers nord de la Thaïlande dans un « Condo » (petit studio)de Chiang Mai pour se ré-organiser et se poser une petite semaine, Archimède nous faisant une bonne fièvre et Pépin, une petite allergie au soleil. A 20€ la nuit, on s’ offre un appart avec piscine que nous quitterons finalement pour aller dans le vieux centre de la ville, dans une chambre plus typique qui nous correspond mieux. C est fou les différences qui se côtoient ici!

Rencontre avec les éléhants

Jean Se et Archi H.S, nous ferons la journée éléphants sans eux. 
Réveil à 6h30 et j’ai plus l’habitude! Heureusement, les enfants malgré leurs yeux « en kikine de poupouce » sont ultra excités. Je les ai réveillés en leur disant qu’aujourd’hui je leur offrais leur cadeau de Noël. Nous déjeunons rapidement et prenons le bus sur la musique des différentes hypothèses de cadeaux qu’il est possible de recevoir. 
Après 1h de bus, 15min de vrai 4x4 dans la jungle. Ça secoue sec dans les ornières de boues. Je me demande comment ça passe parfois. Ça y est, les enfants ont trouvé! C est l’excitation pure, dont je fais pleinement partie. Et puis c’est l’arrivée dans un tout petit village avec un déboisement de la jungle pour laisser place à quelques rizières et champs de bananiers. Nous sommes accueillis par trois personnes qui nous expliquent l’histoire des 3 éléphants que nous accompagnerons et nous donnent aussi les consignes de sécurité. Nous sommes un petit groupe des 8 personnes maintenant un peu refroidies. Nettoyage des mains pour éviter de mettre de la crème solaire ou antimoustique sur la peau fragile (qui l’eu cru) des éléphants et LA rencontre! 
Ils sont beauuuuuuux. Ils sont grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrands!!!
Nous leur donnons des bananes (1 caisse chacun) avant de partir marcher avec eux dans la forêt. La marche se résume plus à la recherche de nourriture sur quelques centaines de mètres mais c est génial de pouvoir les observer de tout près. Difficile d’exprimer notre sentiment durant ce moment. Quand un éléphant s’avance vers toi, c’est juste très impressionnant et (très) magique! Ils sont extrêmement bien adaptés à cette environnement. Malgré leur taille, les chemins qu’ils tracent ne sont, au final, pas bcp plus larges que celui d’un homme. Et plus étonnant pour moi, ils se fondent totalement ds la masse. Je suis à plusieurs reprise surprise.
S’ensuivent bain de boue et bain d’eau. Moment magique pour les enfants. Pour moi, un peu plus mitigée car nous sentons que les bains (du moins à cet instant) fait plus partie du programme eco-tourisme que de leur propre envie. Je ne peux réprimer ce sentiment de culpabilité et de honte d’être là à faire fonctionner ce tourisme. Ceci dit, ils ont l’air de prendre du plaisir une fois dedans malgré tout.
Retour au village pour couper des bananiers et autres. Les nourrir et leur dire au-revoir avant le trajet de retour durant lequel nous tomberons tous dans les bras de Morphée. Les retrouvailles avec le reste de notre tribu sont mémorables. Archimède se jette sur ses deux frères et ne les lâche plus. Ça nous rappelle que c’est sa toute première journée de séparation!

A Chang Mai

Étant amoindris avec l’accident de Jean Se, on se fait des petites visites mémère et pépère autour de la ville: musée, temple, marché, ... 
Dans cette ville, nous retrouvons aussi un peu d authenticité et comprenons doucement ce que nous avons à faire ici et où trouver les bons plans.

Visa run Birmanie

Nous n’avions évidemment pas pris de visa avant de partir. Du coup, deux solutions pour rester plus de 30 jours: sortir du pays et re-rentrer ou se rendre au service immigration avec 1900bathparpasseport. 36bath=1euro. On vous laisse faire le calcul, ça reste très cher pour toute la famille. 
Du coup, c’est parti sans être certain que ça passe. Impossible de trouver une info fiable à ce sujet malgré les heures sur web et recoupements d’info. En plus à la gare routière, il nous annonce qu’on risque fort de ne pas y arriver même en faisant des seaux de puces en bus local. Tous les bus sont complets. Tant pis, on tente. Ça prendra du temps, mais vu qu’on en a et que le but c’est de voir du pays: En route mauvaise troupe, Direction Mae Sot et la Birmanie! 
4 h de bus le premier jour pour enchaîner le lendemain sur 5h30 de bus réparties sur 2h30 (aller) et 3h (retour) ainsi qu’une petite heure de divers tuktuk. Pour des petits belges c’est pas mal du tout! D’autant plus quand on sait qu’en camping-car nous tenions à peine 2h00.
Reste à traverser le pont de l’amitié à pied et passer les douanes. Ça passe les deux doigts dans le nez, les enfants ça aide, il n’y a pas de doute! Alors nous, avec nos trois garçons, peut-être encore plus car ils sont assimilés aux trois bouddhas. Il y a un truc dans leur religion que nous n’avons pas bien compris mais qui fait que trois garçons c’est le Nirvana assuré! Cool!!!
De l’autre côté, c’est bien différent. C’est plus bric à brac et très certainement plus pauvre. Niveau dépaysement et authenticité c’est plutôt ça qu’on recherchait! Ça mâche la cola et crache rouge à/sur tes pieds.... Bref retour en Afrique pour Élise.
Nous prenons un repas dans un bouiboui un peu plus loin et, au final, décidons de ne pas rester en Birmanie et de rentrer le jour même en Thaïlande. La situation sanitaire n’est pas optimale (avec Archi ça passe moyen) et les heures de bus au sein même du pays nous découragent pas mal. Nous balladons donc nos gros sacs pour rien. 
Atterrissage un peu lassés à 21h à Sukothai sans logement prévu. Heureusement, après quelques hôtels pas très reluisants, Élise trouve une chambre chez l habitant. Une aubaine pas chère et on s’y sent, pour la première fois, vraiment bien!

Il y a tout de même des tables à langer assez classes!

Sukhothai

Nous sommes dans la vieille ville, dans le parc historique (ne verrons d ailleurs jamais la vrai ville) et c’ est le pied! Nous louons des vélos et partons à l’assaut des temples mais surtout de lacampagne. 
Alléluia, nous revivons un sentiment de liberté. Quel plaisir de faire un peu de distance et d’aller où bon nous semble! 
Petit moment de recueillement et pensées pour Marie, le lieu s’y prête. Il est calme et serein. 
Nous nous ferons quelques amis dont papy noix de coco et la vendeuse de brochette chez qui nous passerons toutes nos soirées pour que Gédéon l’aide à les cuire au barbecue.Les habitants ont l’air plutôt étonnés de nous voir de jours en jours. Il semblerait que le gros du tourisme ne s’y attarde pas. Nous, c’est une des étapes du voyage qu’on retiendra. Nous y passerons un Nouvel An 100% sans alcool. Une première depuis nos 14ans!


Ayutthaya

Départ de notre chambre après un petit déjeuner thaï offert par notre hôte. Dans notre élan de petit bonheur la chance venu de l’étape précédente, nous montons dans le premier bus qui passe.Celuipour Ayutthaya démarre tous les jours à 9h et il est 10h30... Pas de bol, on aurait pu se renseigner un peu. C est pas très grave, nous ne perdons pas de temps et sommes heureux d avancer.Arrivés àlagaredes bus de Tak, la chance nous sourit. Le bus en démarrage va à notre destination. Magnifique, Élise fonce chercher les billets. Pas de bol, il n’y a plus de place et le prochain est demain. Laperspective d’être coincés en début d’après-midi dans une grosse ville pas très glamour ne l’enchante pas. 
Pas de soucis, Jean Se pendant ce temps a négocié directement avec le chauffeur. Il reste des places et il renvoie Élise à la billetterie. Petite discussion avec tout le monde qui s’en mêle et où elle ne comprend rien mais dont elle ressort avec les billets. Triomphants nous montons dans le bus pour, nous l’imaginons, 4h (deduction du temps que mettait le bus en partance de Sukhothai).
Nous arriverons 6h plus tard à destination. Une mégapole, nous nous en rendrons vite compte. Il ne reste plus qu’à dégoter une guesthouse. Tout de suite moins évident à 21h dans une ville qui est plus chère que ce que nous connaissons. Nous nous arrêterons fatigués dans une chambre un peu glauque avec une nuit entrecoupée toutes les 20min par le mécanisme extérieur de la clim de la maison d’à côté qui donne directement sur notre fenêtre, si on peut l’appeler comme ça. Nous avons droit également aux longs hurlements à la mort des chiens du quartier comme berceuse. 
Ayutthaya se visite à vélo et est célèbre pour ses temples. Pour notre part, les temples, on commence à avoir fait le tour et pour la ballade à vélo, nous avons eu mieux. Rien d’extraordinaire de circuler dans la pollution des voitures. Ça prend assez à la gorge avec cette chaleur. Le port du masque est tout à fait compréhensible et nous partons en acheter pour les enfants. 
Par contre nous trouverons notre première plaine de jeux pour le plus grand plaisir des 3 loustics. Découverte aussi de la plaine de jeux pour les plus grands: parc à éléphants en plein centre ville. Au programme, spectacle de pachydermes gymnastes et ballade sur leur dos pour visiter les temples. Nous restons 10 min à observer la ronde de fin de courses à l embarcadère à touriste. Ces quelques minutes suffisent à mesurer toute l’ampleur de la maltraitante. Les coups de piolets dans le crâne ou les pieds sont bien réels et d’une extrême violence! Les éléphants ressemblent à de petits êtres fragiles quand ils lancent de petits cris et se recroquevillent pour essayer d’éviter les coups. Difficile de comprendre ce qui pousse les personnes que nous voyions s’amasser à payer des tortionnaires pour réaliser ce fantasme. L’Homme est étonnant!
Nous enfourchons nos vélos et repartons choqués. 

Petchabury, ville des singes

Record battu: 24 bath, soit 0,60€, pour 2h de train en famille jusqu’àBangkok,directiongénérale,lesud Est ou Ouest selon. 
Notre destination finale n’est pas encore précise. Nous cherchons toujours à nous enfoncer dans une Thailande profonde mais nous souhaitons aussi nous poser quelques jours à la mer. Difficile à organiser d’avance car, d’expérience, nous nous méfions des endroits dit « nature » à ne pas manquer tant le pays est touristique. Le pays regorge de petits paradis encore sauvages mais souvent à découvrir en restant dans une région. Nous laissons donc le sort choisir. Nous prendrons le premier train possible à Bangkok.
Le bureau information jouera les agences touristiques. Direction Petchaburi, 5h de trajet, en s’arrêtant une nuit à Nakhon Pathom pour voir un merveilleux temple (encore un). 
« 810bath? Vous êtes certaine que c’est bien en seconde voir troisième classe? Ha ok, bon ben... on prend! »
Après avoir regardé sur une carte murale, nous nous rendons compte que le site en question est à 40min de Bangkok centre. Autant dire sa périphérie directe. Super le plan! 
« Impossible d’échanger! Et se faire rembourser? Non. Bon ok » on peut pas gagner à chaque fois.
On aurait peut-être dû se renseigner un peu plus sur ce coup là plutôt que de foncer. Ça fait râler tout de même, surtout Élise, mais vu qu’on accueille les choses comme elles viennent continuons, quoiqu’il arrive nous avançons. Nous avons surtout un stratagème : nous n’aurons qu’à louper l’arrêt. Vu l’alphabet, c’est tout à fait plausible que les touristes que nous sommes se trompent!
C’était sans compter la prévenance des gens et l’organisation au cordeau. Arrivée à la fameuse gare, nous nions. Ça marche presque mais à la dernière minute des thaïs souhaitent s’assoir à nos places. Les sièges sont numérotés. Tout le wagon s’en mêle. On regarde les billets, on se dit que la billetterie a du se tromper mais on nous dit aussi qu’on va nous trouver de bonnes places pour continuer. Inconcevable que l’on continue sur trois sièges avec nos enfants. Nous sommes dans nos petits souliers mais ça marche. Cela fait déjà 8min que nous sommes en gare, le train va redémarrer. Puis, une personne remarque la destination notée sur nos billets. Ils s’affairent tous, aident à ranger nos sacs et à nous arnacher pendant que quelqu’un prévient le chef de gare pour faire patienter le train et nous permettre de descendre sans encombre. Ça y est, nous sommes sur le quai à dire au revoir à un wagon entier, têtes sortantes par la fenêtre tout sourire, heureux de nous avoir aider.
On laisse les sacs à la gare, allons se promener en attendant le prochain train pour Petchaburi et espérer trouver un wifi pour réserver un hôtel vu l’heure tardive d’arrivée. Coût du 2ème train: 110bath pour les 4h30 restantes. On s’est bien fait avoir avant. En fait il y a plusieurs types de trains dont la différence se situe essentiellement au niveau du prix. Ça, n’importe quel voyageur en Thaïlande le sait... Pas nous. 

A Petchaburi , il y a des singes partout et des chats en chenil! Alors pourquoi il n’y a pas trop de photos de singes? Parce que nous en avons peur.



13. 01.2019 
Juste pour se marrer, on a regardé ce matin pendant la sieste d’Archi (oui il fait des siestes depuis 3 jours!!!!) nos signes chinois:
Archi : coq de feuuuu
Pépin : lapin de métal 
Gédéon : tigre de métal 
Jean Se : chèvre de terre
Et Élise : cochon d’eau ... haha!

Sortie des chauffes-souris